Les galères et les galériens huguenots de Louis XIV
(Illustrations) Frédéric Cartier-Lange
EAN : 9782375910757 80 pages 16.5 x 24 cm
14,00 €
Connues depuis l’Antiquité, les galères sont rapides et maniables. Destinées à se lancer à l’abordage des bateaux ennemis, elles s’illustrent dans des batailles célèbres.
En France, c’est sous le règne de Louis XIV qu’une véritable flotte voit le jour. Marseille, la cité des galères, compte alors 12000 galériens ! Mais qui sont ces forçats ? Esclaves ou condamnés, ils sont marqués au fer rouge, à l’épaule, de trois lettres infâmantes, GAL. Louis XIV envoie notamment aux galères des protestants refusant de se convertir au catholicisme. Si ces galériens rament peu et se battent très occasionnellement, ils endurent des conditions de vie terribles, entre punitions et corvées. Lorsqu’au milieu du XVIIIe siècle, il est décidé de mettre fin à la flotte des galères, trop coûteuse, les forçats sont affectés à un nouveau type de prison… le bagne.
Le calvaire des galériens a été tel qu’il est passé à la postérité : « Quelle galère ! » est une expression bien comprise de nos jours. C’est avec un récit fourmillant d’anecdotes que l’historien Jean-Paul Chabrol raconte cette tragique épopée.
En France, c’est sous le règne de Louis XIV qu’une véritable flotte voit le jour. Marseille, la cité des galères, compte alors 12000 galériens ! Mais qui sont ces forçats ? Esclaves ou condamnés, ils sont marqués au fer rouge, à l’épaule, de trois lettres infâmantes, GAL. Louis XIV envoie notamment aux galères des protestants refusant de se convertir au catholicisme. Si ces galériens rament peu et se battent très occasionnellement, ils endurent des conditions de vie terribles, entre punitions et corvées. Lorsqu’au milieu du XVIIIe siècle, il est décidé de mettre fin à la flotte des galères, trop coûteuse, les forçats sont affectés à un nouveau type de prison… le bagne.
Le calvaire des galériens a été tel qu’il est passé à la postérité : « Quelle galère ! » est une expression bien comprise de nos jours. C’est avec un récit fourmillant d’anecdotes que l’historien Jean-Paul Chabrol raconte cette tragique épopée.